Psychotropes hics
Dans la fumée mollasse qui colle,
Y a des joies, des peines qui s’immolent,
Ca fait des taches, des auréoles ;
On navigue bien dans les amers hics,
Quand la mer s’en revient en musique
Vider cet estuaire enfant lubrique,
Puis repart sous les tristes tropiques ;
C’est pas notre guerre aux fins tragiques,
Qu’on tourne en délires psychiatriques,
Comblant de terre les besoins phalliques ;
Lors, aujourd’hui est bien loin d’hier
Et au milieu coule une rivière,
Charriant les souvenirs magiques.
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